Il est rare qu'une chanson fasse autant écho à l'actualité. Celle d'un fait divers tout d'abord : le Costa Concordia, qui naviguait trop près des côtes de l'île toscane de Giglio, avait heurté un rocher dans la nuit du 14 janvier 2012, faisant 32 morts. Celle du verdict à présent. La justice italienne vient en effet de confirmer en appel la condamnation à seize ans de prison à l’encontre de l’ex-commandant du paquebot, Francesco Schettino. "Pour la lâcheté dont il a fait preuve en abandonnant son navire, puis pour le culot et la vantardise qu’il a affichés ensuite, Schettino est devenu un personnage haï dans toute l’Italie", indique le journal italien Il Seccolo XIX. Ce soir-là, le capitaine avait quitté le navire bien avant les derniers passagers, ce qui est contraire aux règles maritimes. Devant le tribunal de première instance, l'intéressé avait expliqué avoir été poussé dans la chaloupe "par la force de gravité".
Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview (Gonzai.com)
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