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Nuits de Fourvière : le coup de coeur des blogueurs lyonnais


C'est avec beaucoup de joie, et un peu d'émotion quand même, que je vous annonce ma première participation aux Nuits de Fourvière comme blogueur musique. Emotions plurielles d'ailleurs, tant les concerts des Nuits continuent de faire leur chemin dans ma mémoire sensorielle. Dans le désordre, on y retrouve pêle-mêle Antony and the Johnsons (2012), Asian Dub Foundation (2001), Arctic Monkeys (2011), Alain Bashung (2004), Nick Cave (2013), Agnes Obel (2011), The Pixies (2014), The National (2010)...
Sans parler de Jimmy Cliff vu en 1984 pour mon premier concert d'ado !!!

J'ai donc la chance d'être sélectionné pour cette édition 2016, qui plus est, en charmante compagnie. Jugez plutôt :

Who Cares ? Extrait de culture à Lyon (et ailleurs)
https://woocares.wordpress.com 

Toute ouïe - Le blog musical qui ouvre ses oreilles en grand
https://touteouie.wordpress.com

United States of Paris
www.unitedstatesofparis.com 

Little Lions
http://www.littlelions.fr 

Soul Kitchen
http://www.soul-kitchen.fr/

Ocean of Noise
http://oceanofnoise.fr 

Lyon City Crunch
http://lyon.citycrunch.fr 

Le gros tas de zik
http://www.legrostasdezik.com/ 

Littlecelt
www.littlecelt.net

Restez connectés : des places à gagner prochainement pour mon concert coup de coeur de cette année (devinez qui ?)...

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Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)

Un chouette anniversaire

Le but de la reprise c'est quand même de faire autre chose que l'originale. Exemple de totale réussite ici.
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.