Chère année 2014, tu ne rimes à rien comme le souligne les Inrocks dans le numéro de ce jour. Effectivement à moins de tenter de vagues assonances anglaises, genre "2014, l'année des recordz", 2014 semble moins riche que 2013 ou 2012. Qu'à cela ne tienne, la une de l'hebdo nous donne la réponse : "2014 année Fauve". Comment, vous en doutiez ?
Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview (Gonzai.com)
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