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En route vers le bonheur : The Do, Cocoon et Agnes Obel

En ce moment, quelques morceaux calmes procurent un bonheur intense. Toute écoute prolongée peut d'ailleurs conduire vers des sommets de sérénité, inconnus des traders de la BNP. Alors que Cocoon a fait une halte très agréable le 14 février dernier au Transbordeur, The Do est programmé pour le 16 mars dans la même salle. Quant à Agnes Obel, son concert prévu à l'Epicerie Moderne a été annulé. On n'attend plus que la nouvelle date...

Rassurez-vous, malgré ces deux vidéos, je n'ai pas d'affinité particulière avec le Figaro. Sauf quand j'épluche les pommes de terre. Et encore.
Mais bon il faut aussi savoir reconnaître le bon boulot...





Pour The Do, pas encore de vidéo mais du son :

Commentaires

Anonyme a dit…
Bonjour ! Très bien ce blog,balades agréables dans ces repérages, dans un esprit semblable, voici l'adresse du mien pour partager des découvertes (souvent gratuites et autorisées !)dans vos goûts musicaux :http://etreladisco.canalblog.com/
Cordialement VL

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Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)

Un chouette anniversaire

Le but de la reprise c'est quand même de faire autre chose que l'originale. Exemple de totale réussite ici.
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.