Il est humainement possible de passer d'un tabassage en règle par les Queens of the Stone Age à une soirée tranquille avec Agnes Obel. Si, si, je vous assure. Il faut juste attendre que les séquelles laissées par le premier concert disparaissent... Ensuite, il faut être un adepte du grand écart tant les deux prestations sont éloignées, comme deux planètes de notre univers musical. Du rock couillu et carré pour QOTSA, une soirée tout en finesse et en nuances pour Agnes Obel et ses deux comparses (Anne Müller au violoncelle et Mika Posen au violon). Un seul point commun sans doute... la chance d'être dans la foule des spectateurs !
Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview (Gonzai.com)
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