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Fête de la musique

Je suis ailleurs quand j'écoute Archive
Je suis anglais quand j'écoute les Clash
Je suis bourré quand j'écoute les Pogues
Je suis (très) ému quand j'écoute Antony and the Johnsons
Je suis démocrate quand j'écoute The National
Je suis sur le périf' quand j'écoute Audioslave
Je suis nostalgique quand j'écoute Depeche Mode
Je suis amoureux quand j'écoute les Sundays
Je suis survolté quand j'écoute Asian Dub Foundation
Je suis révolté quand j'écoute McCarthy
Je suis derrière la batterie quand j'écoute les Black Keys
Je suis allumé quand j'écoute Arthur H
Je suis tendu quand j'écoute Joy Division
Je suis black quand j'écoute Aloe
Je suis sombre quand j'écoute Interpol
Je suis tout chose quand j'écoute Angus et Julia
Je suis nerveux quand j'écoute Placebo
Je suis Bernard Lenoir quand j'écoute les Stone Roses
Je suis détendu quand j'écoute Sigur Ros
Je suis halluciné quand j'écoute Alt-J
Je suis tourbé quand j'écoute les Proclaimers
Je suis dans la rue quand j'écoute Beirut
Je suis dans mon lit quand j'écoute Cold Specks
Je suis fiévreux quand j'écoute Queens of The Stone Age
Je suis joyeux quand j'écoute les Housemartins
Je suis dans le métro quand j'écoute The Streets
Je suis dans un rêve quand j'écoute Björk
Je suis en cage quand j'écoute Fauve
Je suis décoiffé quand j'écoute les Arctic Monkeys
Je suis à la limite quand j'écoute Jack White
Je suis dans la lune quand j'écoute Massive Attack
Je suis au milieu de la fosse quand j'écoute At The Drive-In
Je suis azimuté quand j'écoute Wu Lyf

Je suis vivant quand j'écoute de la musique

Commentaires

Exxcal a dit…
Très fan de ta prose.

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Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)

Un chouette anniversaire

Le but de la reprise c'est quand même de faire autre chose que l'originale. Exemple de totale réussite ici.
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.