Alors oui on parlait musique ce soir-là. Etonnant, non ? Je disais que le dernier Jack White, quand même, il déchire. Le type, ouais, il est sacrément doué. A la guitare. Oui, à la guitare aussi. Surtout pour un batteur. Et puis on a évoqué les Alabama Shakes. Un glissement plein d'à-propos puisque les A.S. ont joué avec White pendant sa tournée. Bon moi je connaissais pas. Mais c'est pas grave. Au contraire. Et puis je suis revenu aux Blacks Keys qui non seulement passent à Lyon mais sont également l'objet d'un documentaire à venir. Noah Abrams, photographe de concert, a en effet décidé de suivre ses potes les Black Keys depuis le début de leur tournée
mondiale. Un buddy movie donc avec "la meilleure bande originale de tous les temps". Cool. On a enchaîné avec un documentaire qui rassemble trois guitaristes incontournables. Ca s'appelle It might get loud et les trois types en question sont Jimmy Page, The Edge et Jack White. Bref, comme dirait l'autre, on parlait musique.
Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview (Gonzai.com)
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