Accéder au contenu principal

Play-list de Pâques (et concerts en prévision)

Je ne sais pas si c'est un effet du printemps mais je trouve qu'il y a plein de trucs sympas à écouter en ce moment. Petite play-list de Pâques avec des choses plus ou moins récentes. Plutôt plus quand même...

Le tube des Blacks Keys. Incontournable. Bonne nouvelle : ils passent à Lyon. Mauvaise nouvelle : c'est à la Halle Tony Garnier.


Un autre concert prévu à Lyon. Cette fois-ci aux Nuits de Fourvière. En 1ère partie de Thomas Dutronc.


Le retour des Wedding Present avec un somptueux 8ème album. Le groupe de David Gedge était venu à l'Epicerie Moderne lors de leur dernière tournée française. On vote pour un concert bis !

Pour ceux qui veulent plus qu'un morceau, c'est par ici !

Les petits gars de Cleveland font de la power pop qui doit rappeler de bons souvenirs à Steve Albini (producteur des Pixies, de Nirvana). En dignes représentants de la génération Y, ils font aussi des clips étranges, plus ou moins regardés sur YouTube.


Le 2ème album de l'Autrichienne Anja Plaschg. Un disque de deuil comme le qualifie Télérama (la jeune chanteuse a perdu son père en 2009). Avec une reprise aussi inattendue que surprenante.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Cassels : le retour des punks anglais

Punks not dead ! Je dirais même que la relève est bien là... Pour ça, il suffit d'écouter le duo formé par les frères Beck, deux albums à leur actif.  Le réalisateur Rodrigue Huart les a rencontrés en 2017, dans la petite ville conservatrice de Chipping Norton dans le comté d’oxford. Une bourgade sans intérêt et ennuyeuse qui les pousse à partir tenter leur chance avec leur groupe, Cassels, à Londres. Initialement diffusé sur Spicee.com  le film Is this punk music? est aujourd'hui disponible gratuitement sur la plateforme Vimeo .
Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.