On pourra garder de nombreux souvenirs du concert de Charlie Winston ce lundi au Transbordeur. Les efforts répétés et sincères du chanteur anglais afin de communiquer avec le public lyonnais dans la langue de Molière. Sa pratique du beat box. La reprise du morceau de Brel, "Au suivant". Son passage dans la fosse pleine à craquer, accompagné de son manager. Ses chaussettes rouges. Mais aussi, et surtout, les deux derniers morceaux interprétés seul au piano. Voici le premier. Le second, vous irez l'écouter à Fourvière en juillet.
Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview (Gonzai.com)
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