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Coachella, meilleur que le Nutella !

Un festival qui affiche les Strokes, Interpol, Arcade Fire, Kings of Leon, Angus et Julia Stone, Cold War Kids, The Klaxons, The National, PJ Harvey, The Drums, Two Door Cinema Club... Non, vous ne rêvez pas : Coachella est de retour. La liste des protagonistes est tellement longue que forcément, on y découvre des intrus. Tel Duran Duran, éternel phénix venant jouer sur les cendres bien refroidies de la new-wave des années 80. Ceci étant dit, pour les amateurs, les pass sont en vente au prix de 269 dollars (ou 699 dollars pour ceux qui préfèrent la version VIP). Sans compter bien sûr, les frais de voyage pour vous rendre en Californie au mois d'avril. Un détail... Mon choix dans ce vaste catalogue se porte sur Angus et Julia ("Vous permettez que je vous appelle Angus et Julia ?"), à voir ici ou sur le nouveau site internet du Transbordeur.

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Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)

Un chouette anniversaire

Le but de la reprise c'est quand même de faire autre chose que l'originale. Exemple de totale réussite ici.
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.