Je pensais pas qu'on danserait sur Archive pour le réveillon. C'était assez inattendu, et pourtant ça a bien fonctionné. Il faut dire qu'avec le champagne, les morceaux planants du combo formé autour de Darius Keeler et Danny Griffiths produisent un certain effet. J'ai l'impression qu'il y a une certaine unanimité autour de ce groupe. Ceux qui ont croisé sa route en concert en gardent un souvenir fabuleux. Côté discographie, des albums qui s'écoutent de bout en bout avec des formats longs (les 18 minutes captivantes de Lights) loin des standards imposés par les médias. A l'exception du Take My Head qui ne mérite pas de figurer à côté des autres opus. Le groupe devrait revenir en 2011 avec un DVD live tourné à Athènes et financé par les internautes. A écouter sans modération.
Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview (Gonzai.com)
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