Dans un contexte politique marqué par la corruption, la cupidité, les petits arrangements, les passe-droits, les scandales, les mensonges, l'arrogance, le mépris, le désintérêt, les prises d'intérêt, la fraude, les dérapages et autres berlusconneries, il est sans doute utile, pour ne pas dire vital, de tendre le micro à des discours différents.
Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview (Gonzai.com)
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