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Mes courses chez Intimepop

Mercredi c'est jour de marché. Je suis donc allé sur IntimePop et j'ai rempli mon panier. Au rayon frais, j'ai trouvé une jolie liste de morceaux à télécharger : quelques extraits d'un concert donné à Dortmund par Get Well Soon, accompagné d'un orchestre classique. Les p'tits gars confirment tout le bien qu'on pensait d'eux et sont en tournée avec quelques dates françaises (Clermont, Laval et Strasbourg). Autre découverte, bien cachée au fond d'un carton, ce court-métrage réalisé par The Broadcast club. Il s'agit d'un film tourné en août au camping des Lilas, proche de la dune du Pyla. Dis comme ça, ça fait pas grimper au rideau mais la courte séquence visible sur le web est vraiment prenante. La bande son, un morceau du groupe français Limousine, renforce la dimension psyché et planante du film. J'ai terminé avec les vidéos d'Emily Jane White, tournées lors de son passage à l'Epicerie Moderne en début d'année. Pas mal, pour le dessert.

Commentaires

J'aurai bien pris Russian Circles en Digestif ah ah !! Merci de ton post , tes groupes références sont bien sympas !! Je te linque A+
Joss a dit…
Cool, merci !

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Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)

Un chouette anniversaire

Le but de la reprise c'est quand même de faire autre chose que l'originale. Exemple de totale réussite ici.
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.