Olivier Nuc est journaliste musical au Figaro. Bruno Lesprit travaille depuis 1994 au Monde. Les deux journalistes ont croisé la plume et viennent de sortir un ouvrage biographique consacré à Bashung. Pour les éditions du Seuil, ce livre "tente de comprendre comment le même homme a pu s’extraire des fossés des débuts pour se hisser sur les sommets vertigineux de Fantaisie militaire et de L’Imprudence.[...] Comment, aussi, cet autodidacte a fini par s’imposer comme le musicien populaire le plus dense en France depuis Gainsbourg". Je ne sais pas si il faut lire ce livre ou s'il vaut mieux glisser une nouvelle fois les Dimanches à l'Élysée dans le lecteur CD. Les deux, peut-être.
Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview (Gonzai.com)
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