Ai croisé la route des National. Avec la sensation plaisante d'être au bon endroit au bon moment. Pour ce qui est des Vampire Weekend, la pilule a du mal à passer. Les gars proposent un rock festif mais jouent de la guitare électrique comme d'un yukulélé. A la fin ça fatigue. Perso, puisqu'on parle de rock festif joué par des petits jeunes, je préfère nettement la version planche de surf, façon Beach Boys des années 2000. Allez, c'est l'heure du footing !
Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview (Gonzai.com)
Commentaires
Mais je suis d'accord avec toi que l'assembalge de The National et des VW n'étaient pas très heureux.