A la voix du chanteur, je m'attendais à voir un grand barbu avec les cheveux longs et une chemise à carreaux. En plus, j'aurais juré-craché que ce gars-là venait des US. Vérification faite, j'ai tout faux. Le chanteur Charlie Fink ressemble à un teenager bien propre sur lui et son groupe a vu le jour dans la grande banlieue de Londres, à Twickenham. Alors, on doute, on s'interroge. Heureusement, le site d'Arte nous éclaire avec cette confidence de Fink: «Les premiers disques que passait ma mère c'était Les plus grands succès de Bob Dylan, Les plus grands succès des Beach Boys et Les plus grands succès de Buddy Holly». Je vous l'avais bien dit : ce type-là n'a rien à voir avec l'Angleterre ! Pour ce qui est de la maturité du bonhomme, le mystère reste entier...
Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview (Gonzai.com)
Commentaires