C'est la tradition. Pour le nouvel an, on se tape la bise et on se souhaite plein de bonnes choses. Pour la bise, c'est Florence Welch qui s'y colle. Je pense que personne n'y verra rien à redire. Pour les bonnes choses, on peut déjà mentionner son concert au Transbordeur le 11 mars prochain. Une bonne nouvelle, non ?
Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview (Gonzai.com)
Commentaires
En concert, elle est encore plus bluffante