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Nom de code : HGH

Dans la série des cadeaux qui font plaisir, ce deuxième album des Hitchcock go home, est une vraie bonne surprise. Voire une révélation. Je ne peux que vous inviter à l'écouter, sans trop vous poser de questions. Après quoi, vous irez surfer sur Internet pour découvrir que le groupe est français, ratisse large question influence (dEUS, Arab Strap, Neil Young, Nick Drake, Sonic Youth, etc.), alterne avec élégance chanteur(s) et chanteuse. Au final, vous hésiterez même à faire un petit mail ou un commentaire pour me remercier de vous avoir, une nouvelle fois, fait découvrir un groupe qui tue. Franchement, tout le plaisir est pour moi !

Commentaires

LisaChan a dit…
Mais non, Joss, tout le plaisir est pour moi...

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Cassels : le retour des punks anglais

Punks not dead ! Je dirais même que la relève est bien là... Pour ça, il suffit d'écouter le duo formé par les frères Beck, deux albums à leur actif.  Le réalisateur Rodrigue Huart les a rencontrés en 2017, dans la petite ville conservatrice de Chipping Norton dans le comté d’oxford. Une bourgade sans intérêt et ennuyeuse qui les pousse à partir tenter leur chance avec leur groupe, Cassels, à Londres. Initialement diffusé sur Spicee.com  le film Is this punk music? est aujourd'hui disponible gratuitement sur la plateforme Vimeo .
Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.