Dans la série des cadeaux qui font plaisir, ce deuxième album des Hitchcock go home, est une vraie bonne surprise. Voire une révélation. Je ne peux que vous inviter à l'écouter, sans trop vous poser de questions. Après quoi, vous irez surfer sur Internet pour découvrir que le groupe est français, ratisse large question influence (dEUS, Arab Strap, Neil Young, Nick Drake, Sonic Youth, etc.), alterne avec élégance chanteur(s) et chanteuse. Au final, vous hésiterez même à faire un petit mail ou un commentaire pour me remercier de vous avoir, une nouvelle fois, fait découvrir un groupe qui tue. Franchement, tout le plaisir est pour moi !
Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview (Gonzai.com)
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