Tiens, les p'tits gars d'Edimbourg reviennent avec un nouvel album (le 7ème). Une bonne nouvelle qui ne fera pas la une des journaux, mais sûrement un (bon ?) papier dans les Inrocks. A l'époque du 3ème album, le magazine présentait Idlewild comme"un équilibre étonnant et intenable entre l'Amérique de Nirvana et l'Angleterre des Smiths". Les Smiths sont morts. Nirvana aussi. Reste Idlewild.
Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview (Gonzai.com)
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