Accéder au contenu principal

Les gothiques en star de la plage ?

L'album dont on parle en ce moment dans les bonnes boutiques c'est celui de The Horrors. Les hommes en noir reviennent avec Primary Colours sorti ce mois-ci chez Beggars Banquet. "Les Horrors possèdent une impressionnante capacité à torturer le passé pour mieux dessiner le futur" nous dit Rock&Folk. Même son de cloche du côté de foutraque.com : "Le nouvel effort de The Horrors est un concentré de spleen gothique destiné à faire resurgir de terribles démons des tréfonds de l’âme humaine…". Alors quoi, c'est l'album de l'été ? Confirmation sur scène pour les chanceux qui pourront se rendre à Rock en Seine. Pas de date prévue à Lyon. Pour le moment.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)

Un chouette anniversaire

Le but de la reprise c'est quand même de faire autre chose que l'originale. Exemple de totale réussite ici.
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.