C'est aux filles d'inviter. Un mardi 4 novembre, rien d'étonnant à ce qu'Alela Diane vous tende la main le temps d'une petite ballade folk. Direction Paris pour passer quelques minutes avec la chanteuse californienne. Loin de l'effervescence médiatique qui s'est emparée des USA, mais avec le même rêve que quelque chose pourrait changer.
Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview (Gonzai.com)
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