On n'en a pas fini avec les Clash. Pas seulement parce que certaines chansons riment bien avec l'actualité du moment (I'm So Bored with the USA). Pas seulement parce qu'un nouveau live vient de sortir (Live at Shea Stadium, enregistré en 1ère partie des Who le 13 octobre 1982 devant 70 000 personnes). Pas seulement parce le groupe de Mick Jones et Joe Strummer était un véritable Objet Musical Non Identifié, capable d'explorer de nombreux courants musicaux. Non, la raison est plus simple. A chaque qu'on ressort un CD de la pile, on a ce vague sourire aux lèvres. On se souvient d'un bon moment. Des images de Rude Boy. D'une bière entre copains. D'une paire de Doc' achetée à Camden Market. A vrai dire, on ne s'en lasse pas... La facture des grands groupes.
Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview (Gonzai.com)
Commentaires
Je découvr ton style décriture avec plaisir.
Je suis en train d'écouter un groupe from UK Foals: que je te conseil.
@+