Cinq lignes sur Wikipedia, pas l'ombre d'un clip vidéo, quatre morceaux sur MySpace, un papier perdu dans Libé. Du haut de ses deux albums, Laetitia Shériff mérite sûrement mieux. Au moins de se faire entendre. Les amateurs -et ceux qui souhaitent la découvrir- pourront se rendre à l'Epicerie Moderne de Feyzin, le 1er octobre à venir.
Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview (Gonzai.com)
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