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"Stars" du rock, en stock !

Un petit jeu pour finir la semaine ;-)
Qui se cache derrière l'image qui suit...
Vous souvenez-vous ?

Commentaires

rompetit a dit…
Trop facile, c'est Harriet des Sundays.
(pas de mérite, j'ai toujours été amoureux d'elle)
Perlin a dit…
Bravo ! Vous avez des nouvelles d'elle ? Moi plus depuis Summertime :-)
Joss a dit…
Ah, un concert des Sundays... que du bonheur. Mais si ma mémoire est bonne y'avait son petit copain dans le groupe. En tou cas, Bernard Lenoir avait bien craqué sur elle aussi ;o)
rompetit a dit…
Il semble que le couple mène une vie "normale", loin du monde du showbiz...
voir ici

"Wheeler and Gavurin got married, had a baby girl named Billie, and yearned for a normal life during this time. This obviously explained their absence from the music world, but it was well worth the wait."

et apparemment on n'est pas les seuls à ce demander ce qu'ils sont devenus :
harriet-wheeler-where-are-you

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Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)

Un chouette anniversaire

Le but de la reprise c'est quand même de faire autre chose que l'originale. Exemple de totale réussite ici.
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.