Je crois que je ne verrais jamais Björk en concert. C'est comme ça, on n'y peut rien, c'est écrit quelque part. Mektoub. Tout a commencé avec un concert des Sugarcubes. J'ai un peu cartonné la voiture des parents en y allant mais je suis arrivé à l'heure. Dommage, le concert était annulé... Super soirée ! Du coup, je ne sais plus ce qui m'a le plus emmerdé : l'aile froissée ou le concert loupé. Quelques années plus tard, il fallait faire la queue pour voir la star islandaise et je n'ai pas pu avoir de place. Maintenant, je me dis que c'est trop tard, que ça vaut plus le coup. On a tous des rendez-vous manqués. Des concerts imaginés. Je n'en garde pas de regret. Pas de traumatisme islandais. Je me suis rattrapé avec Sigur Rós.
Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview (Gonzai.com)
Commentaires
http://www.liberation.fr/culture/315109.FR.php