Il y a des albums d'été et des albums d'hiver. Un peu comme la mode, si tu veux. La différence, c'est qu'on a la possibilité, sans friser le ridicule, d'écouter un album d'hiver l'été et vice-versa. Je me souviens très bien de la sortie de Trains, Boats & Planes en octobre 1992. Je ne connaissais pas les Frank and Walters mais à l'accent du chanteur j'ai vite compris que l'Irlande nous avait, de nouveau, gratifié d'une petite perle musicale. Sorti en octobre 1992, j'ai mis l'oreille sur cet album en décembre de la même annnée. Cet album d'hiver fut un joli cadeau de Noël. Hé, c'est quoi l'album de l'hiver 2008 ?
Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview (Gonzai.com)
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