C'est l'histoire d'une petite entreprise. Un type tout seul, Jean-Baptiste Guillot, qui a décidé de lancer un label indépendant. Pas d'attachée de presse, pas de secrétaire, pas de bureaux en haut d'une tour comme dans la série Vinyle. Born Bad Records n'est pas Columbia. JB bosse de chez lui, à Romainville, dans une véranda ré-aménagée en lieu de travail. Né en 2006, le label a signé Cheveu ou La Femme. Avec un deal intéressant pour le groupe Victoire de l'Album révélation en 2014. Comme JB l'explique dans Télérama : " Le deal que j’ai avec La Femme est finalement le meilleur, pour eux comme pour moi. Pour les CD et sorties digitales, ils ont signé chez Barclay. Les vinyles sont chez Born Bad. J’ai réussi à négocier que ce soit mon graphiste, Elzo Durt, un belge hyper-fort dans la fusion des images, de l’art déco à l'imagerie punk, qui fasse tout leur artwork. Et le logo de Barclay n’apparaît pas sur mes vinyles.. .". Indépendant jusqu...