Accéder au contenu principal

Nouvelle crèmerie de référence

Le logo et le nom de cette enseigne pourrait penser qu'il s'agit d'une boutique de tatouages polynésiens. Il n'en est rien. Il s'agit, comme vous pouvez l'imaginer si vous êtes fidèle à ce blog, d'un disquaire lyonnais situé sur les pentes de la Croix-Rousse. On parle ici de vinyles neufs et d'un choix particulièrement axé sur la thématique rock, au sens large du terme. J'y ai trouvé récemment quelques galettes que je cherchais depuis longtemps. Des choses comme The Villagers, Feu Chatterton, Lee Fields, Fauve, Placebo, The Veils... En fouillant dans les bacs, j'ai découvert avec bonheur, rassemblés dans quelques mètres carrés, les 3/4 de ma play-list habituelle. Comme si j'avais été téléporté en franchissant le seuil dans une mini-boutique Rough Trade... Ajoutez à ça une jolie collection de BO et un vendeur fan de Thin Lizzy, Queen et RHCP, vous obtenez un endroit sympa, dont il faudra impérativement pousser la porte lors de vos prochaines balades croix-roussiennes.



Tiki Vinyl Store - 13 rue René Leynaud

NB : site HS pour le moment, optez pour la page FaceBook

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)

Un chouette anniversaire

Le but de la reprise c'est quand même de faire autre chose que l'originale. Exemple de totale réussite ici.
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.