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C'est l'histoire d'un Corse qui joue de la guitare...

Et qui monte à Londres à 24 ans, en 1976, pour y passer une quinzaine de jours. Résultat : il y reste 7 ans, participe aux débuts de The Police, fait la fête avec Topper Headon, le batteur des Clash, joue au festival punk de Mont-de-Marsan (véridique !). Cette histoire n'est pas le topic d'une fiction mais un documentaire saisissant sur Henry Padovani, le (seul) guitariste corse à avoir intégré la scène punk !

  

Son histoire ne s'arrête pas là. Loin s'en faut... En 1984, il devient le directeur puis le vice-président de IRS Records (le label de Miles Copeland, frère de Stewart Copeland et manager de The Police). Le label va signer R.E.M., The Lords of the New Church, The Fleshtones, The Cramps et The Bangles... Le film est à l'affiche au Comoedia. Vous savez ce qu'il vous reste à faire si vous voulez découvrir la fin de l'histoire !

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Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)

Un chouette anniversaire

Le but de la reprise c'est quand même de faire autre chose que l'originale. Exemple de totale réussite ici.
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.