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Coup de coeur collectif

Comme je vous l’ai indiqué, Une pile de disques participe pour la 1ère fois au Coup de Cœur des Blogueurs des Nuits de Fourvière. Deux volets à cette opération : un coup de cœur personnel pour chaque blogueur et un coup de cœur collectif.

Côté collectif, le choix des blogueurs lyonnais s’est porté sur la Nuit Soul qui accueillera Malted Milk & Toni Green, James Hunter Six et surtout le grand Charles Bradley le samedi 2 juillet sur la scène du Grand Théâtre.


Rappel des blogs participants cette année : Toute Ouie, United States of Paris, LittleCelt, Little Lions, Le Gros tas de zik, Ocean of Noise, Soul Kitchen, Who Cares ? et Lyon CityCrunch.

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Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)

Un chouette anniversaire

Le but de la reprise c'est quand même de faire autre chose que l'originale. Exemple de totale réussite ici.
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.