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Foals is back... et pas qu'un peu !

Avec Foals comme bande-son, l'été s'annonce tendu comme une chaîne de fixie. Avec une date à retenir : le 28 août, sortie du 4ème album des gars d'Oxford. Un album produit par James Ford (Arctic Monkeys) et enregistré dans le sud de la France (La Fabrique). Dans la foulée, le groupe a annoncé une 1ère date de concert en France : le 4 septembre prochain au Cabaret Sauvage (Paris). Ce sera a priori la seule date française de cette mini tournée européenne...
En espérant les revoir sur scène à Lyon, voici donc la vidéo de What Went Down qui ouvre l'album du même nom. C'est chaud et moite à la fois, idéal pour se jeter à l'eau.

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Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)

Un chouette anniversaire

Le but de la reprise c'est quand même de faire autre chose que l'originale. Exemple de totale réussite ici.
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.