Accéder au contenu principal

Ma sorcière bien-aimée

Fan absolu de la BD, je ne pouvais passer à côté de ce clip de Skip the use, réalisé par Arthur de Pins. La BD en question c'est Zombillénium. 3 tomes, une histoire de morts-vivants qui bossent dans un parc d'attractions du nord de la France et une atmosphère unique en son genre. A mi-chemin entre le film de zombies et la chronique sociale. Du Walking Dead à la sauce Davodeau. Un vrai régal... Cerise sur le gâteau, le journal Le Soir nous apprend que cette vidéo est devenue "le pilote d’un long-métrage actuellement en chantier". Gretchen en lice pour l'Oscar de la meilleure actrice en 3D ? Je vote pour !



Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)

Un chouette anniversaire

Le but de la reprise c'est quand même de faire autre chose que l'originale. Exemple de totale réussite ici.
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.