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Me and Mister White

J'avais annoncé Jack White aux Nuits de Fourvière dans le cadre de la tournée estivale de Blunderbuss. Vous pouvez vérifier c'était le 22 mars dernier. Erratum pour le lieu mais pour le reste j'avais tout bon. Le 4 septembre, il faudra donc être au Transbo pour commencer la rentrée de belle manière. Matez un peu la setlist des Eurockéennes, ça donne envie, non ? :
• Sixteen Saltines
• Dead Leaves and the Dirty Ground
• Missing Pieces
• Love Interruption
• Hotel Yorba
• Top Yourself
• Weep Themselves to Sleep
• I Guess I Should Go to Sleep
• We're Going to Be Friends
• Blue Blood Blues
• The Hardest Button to Button
• Steady, As She Goes
• Ball and Biscuit
• Take Me With You When You Go
• Carolina Drama
• Seven Nation Army

Allez un avant-goût de ce qui attend les chanceux qui pourront y être :

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Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)

Un chouette anniversaire

Le but de la reprise c'est quand même de faire autre chose que l'originale. Exemple de totale réussite ici.
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.