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Mme Irma et les Nuits de Fourvière

A quelques jours de l'annonce de la prog' des prochaines Nuits de Fourvière, tentons, comme l'année dernière, une prévision de choc. Allez, ni une, ni deux, j'annonce Jack White en concert à Lyon. Remarquez, sur le papier, ça pourrait coller. White a annoncé une tournée européenne estivale pour la promotion de son 1er album solo.Il a par ailleurs confirmé que les White Stripes ne se reformeront jamais. Au contraire des Stone Roses, qui viendront nous filer un coup de vieux le 25 juin dans ce même amphi gallo-romain. Autres noms qui ont fuité avant l'annonce de lundi : Bon Iver, Metronomy, Jane Birkin, Mina Tindle. Et Björk bien sûr mais ça c'est officiel. Et donc, Jack White c'est quand ?



Commentaires

Joss a dit…
raté ! ;o) on espère quand même ailleurs ?...

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Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)

Un chouette anniversaire

Le but de la reprise c'est quand même de faire autre chose que l'originale. Exemple de totale réussite ici.
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.