Accéder au contenu principal

Bernard Lenoir : clap de fin

Lenoir c'est fini. L'info a circulé sur quelques blogs et journaux spécialisés culture. Le monsieur Rock de France Inter quitte la radio sur laquelle il a fait l'essentiel de sa carrière. C'est triste mais ce n'est pas vraiment une surprise. Juste une déception de plus, en ce qui me concerne, par rapport à cette radio qui me ressemble de moins en moins. Lenoir ne s'est pas étalé sur la suite. Peut-être un blog. Chiche ? En tout cas, je salue la passion de cet infatiguable découvreur de talents, en priant les Dieux du Rock que les 318 Black sessions soient un jour disponibles sur le site de l'INA. Je le remercie aussi pour nous avoir donné quelques idées de morceaux à passer lorsque, plus jeune, nous étions animateurs de radio libre. Morceaux que nous n'avions pas toujours achetés et qui venaient tout droit d'un enregistrement de son émission sur K7. On peut bien l'avouer maintenant, il y a prescription.







Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)

Un chouette anniversaire

Le but de la reprise c'est quand même de faire autre chose que l'originale. Exemple de totale réussite ici.
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.