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Prix Constantin avec Carmen Maria Vega

Voici donc la réponse au billet de mercredi dernier. Chaque année le Prix Constantin récompense de jeunes talents ("l'artiste ou le groupe ne doit pas avoir produit plus de 2 albums avant celui présenté lors de la sélection"). Remporté par Mickey 3D en 2003, il trône aujourd'hui sur une des étagères d'Emily Loizeau. En course pour cette nouvelle édition, notre lyonnaise préférée : Carmen Maria Vega. Face à elle, neuf autres lauréats dont Camelia Jordana, Ben l'oncle soul ou Arnaud Fleurent-Didier. Bref, dans des registres différents, que des gens bien sympathiques. Annonce du prix 2010 le 12 novembre, suivi d'une grande soirée live le 19 novembre sur France Inter.

Commentaires

LisaChan a dit…
Effectivement du beau monde mais cette affiche est quand même vraiment laide, non ?

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Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)

Un chouette anniversaire

Le but de la reprise c'est quand même de faire autre chose que l'originale. Exemple de totale réussite ici.
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.