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Kleenex Party

Forcément, quand on vient de regarder un film qui a reçu le Grand Prix au Festival international du film d'amour, on se sent l'âme romantique. D'où le choix des vidéos suivantes, qui devrait m'attirer les sympathies du public féminin de ce blog (à savoir une bonne douzaine de personnes, à vue de nez). Pour ce qui est du film de John Carney, on retiendra quand même les récompenses suivantes : le Prix 2007 du Public au Festival du film de Sundance et l'Oscar de la meilleure chanson originale pour Falling Slowly (Glen Hansard et Markéta Irglová) en 2008.



Une autre chanson des Irlandais The Frames :


Dans un style proche, ce morceau d'I am Kloot, un groupe de Manchester sélectionné pour le Mercury Prize 2010 :

Commentaires

LisaChan a dit…
Y'a que les filles qui sont romantiques ??? Quel dommage !!
Joss a dit…
Oui tu sais bien que certains qualificatifs ne s'appliquent qu'aux filles. Comme "perfide" par exemple... ;o)

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Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)

Un chouette anniversaire

Le but de la reprise c'est quand même de faire autre chose que l'originale. Exemple de totale réussite ici.
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.