Accéder au contenu principal

My Tailor is rich

Jean-Christophe Le Saoût est un jeune homme relativement discret. Wax Tailor, en pleine tournée internationale, l'est un peu moins. Attendu au Transbordeur début décembre, le musicien français viendra défendre son 3ème album en 5 ans. Ambiance électro, mâtinée de trip-hop, façon Massive Attack ou Kid Loco lorsque de jolies voix féminines sont invitées à la fête. Jean-Christophe vous donne rendez-vous avec Wax. A ne pas manquer.

Commentaires

LisaChan a dit…
Moi j'aime beaucoup Wax Taylor mais franchement ce clip... Ou alors c'est du 2nd degré loupé.
Dans le même genre musical, je ne saurai que trop conseillé les excellents Chinese Man et surtout leur morceau Washington Square.

Posts les plus consultés de ce blog

Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)

Un chouette anniversaire

Le but de la reprise c'est quand même de faire autre chose que l'originale. Exemple de totale réussite ici.
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.