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Wanted contributeurs

Vous aimez la musique ? Vous aimez en parler, faire partager vos découvertes ? Vous habitez Lyon ou sa région ? Dans ce cas, envoyez-moi un petit message et rejoignez l'équipe d'Une pile de disques. A la clé : la gloire, des milliers de fans qui vous lisent régulièrement, le sentiment de participer au bonheur de l'humanité. C'est pas rien.

Commentaires

Tangee a dit…
Essplik un peu donc l'initiative?...
Joss a dit…
Bah l'idée c'est d'être plusieurs à contribuer pour que la fréquence des billets devienne quotidienne. Une dizaine de contributeurs, je pense que ça serait bien...
Tangee a dit…
I'm in!

(Si tu m'acceptes hein...)
(Et j'accepte de ne pas pouvoir parler de n'importe quel style...)

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Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)

Un chouette anniversaire

Le but de la reprise c'est quand même de faire autre chose que l'originale. Exemple de totale réussite ici.
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.