Une nuit d'été, un amphithéâtre bondé. Le vent chaud souffle les partitions de l'orchestre de l'Opéra de Lyon. Antony est bien là cette fois, visiblement impressionné par le cadre. Silence de la foule, le concert commence.
Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview (Gonzai.com)
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