Accéder au contenu principal

Décembre 2008 - Top 30 du mois (Romain)

This Mortal Coil - It'll End in TearsThe Wedding Present - BizarroThe Sugarcubes - Life's Too GoodThe Stone Roses - The Stone RosesThe Jesus and Mary Chain - AutomaticThe House of Love - The House of LoveThe Cure - Kiss Me, Kiss Me, Kiss MeThe Charlatans - Some FriendlyTalking Heads - Speaking in TonguesSonic Youth - DirtyPixies - Trompe le MondeThe Smashing Pumkings - Mellon Collie and the Infinite SadnessRem - Out Of TimeRed Hot Chili Peppers - Mother's MilkRage Against the Machine - Rage Against the MachinePaul Weller - Paul WellerOasis - Stop the ClocksNirvana - NevermindNew Order - TechniqueMy Bloody Valentine - LovelessMassive Attack - Blue LinesMano Negra - Puta's FeverLloyd Cole and the Commotions - RattlesnakesJames - Gold MotherHappy Mondays - Pills'n'Thrills and BellyachesEcho and the Bunnymen - Echo and the BunnymenDavid Bowie - The Rise and Fall of Ziggy StardustClodplay - X&YCocteau Twins - Heaven or Las VegasBlur - Leisure

Commentaires

Perlin a dit…
Voilà un top qui a de la gueule. Si ce n'est que le meilleur Jesus & Mary Chain, c'est "Darklands", et que le meilleur Talking Heads, c'est "True Stories". Et toc !

Une petite question pour finir : que peut bien faire un album de Blur dans un TOP 30 ? Surtout ce "Leisure"...
rompetit a dit…
Darklands, moui...Mais la pochette d'Automatic est plus jolie...
Pour TH, j'ai failli choisir Fear of Music mais il est vraiment trop atypique.

Leisure ? Bé oui, fallait bien une touche de bleu.

Posts les plus consultés de ce blog

Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)

Un chouette anniversaire

Le but de la reprise c'est quand même de faire autre chose que l'originale. Exemple de totale réussite ici.
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.