Non, ce n'est pas Robert Smith qui s'est déguisé en Marie-Antoinette black, simplement un petit gars de Miami et ses acolytes tout juste sorti de la High School qui mettent le feu au dance floor avec une énergie de teenagers facétieux. Le genre de single qui s'écoute 10 fois de suite et que l'on fredonne sans y penser. A noter plusieurs covers dont une de Kate Nash assez touchante... A confirmer.
Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview (Gonzai.com)
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