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Tribute to Lisa

Antoine, l'ancien bassiste de Billy Ze Kick est mieux connu sous le pseudo de DJ Zebra. Avant de lancer Virgin Radio, Zebra a longtemps sévi sur Ouï FM avec son émission "Zebramix". Le principe était de mixer des morceaux entre eux, souvent en prenant les paroles d'un côté et la musique de l'autre. Le talent aidant, le résultat était parfois étonnant, souvent décapant. Si vous ne connaissez pas, je vous conseille de jeter une oreille attentive dans votre Deezer préféré.

Illustration ici :


Commentaires

Anonyme a dit…
Mille merci pour ce Tribute ;o)
Toutes les réponses à mes questions sur la même pasge de blog, quelle belle cohésion d'esprit...
Lisa
Anonyme a dit…
On peut rajouter qu'en live Antoine est plutôt impudique et qu'il n'est ma foi pas déplaisant à regarder... on sent qu'il est rock'n'roll quoi...
Petite précision technique, l'activité qui consiste à faire jouer ensemble 2 morceaux s'appellent le bootleg...
Maria
Anonyme a dit…
"s'appelle" bien sûr...
Maria
Anonyme a dit…
beurk beurk beurk!

philippa

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Un chouette anniversaire

Le but de la reprise c'est quand même de faire autre chose que l'originale. Exemple de totale réussite ici.
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.