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Blog'n'roll

Depuis toujours nous parlons musique, ciné, bouquins, foot et internet. Pour la musique, nous avons décidé d'en faire un plus que d'en parler... Dans notre trio, chacun a son style mais on se rejoint sur les grandes lignes : The Smiths, The Clash, The Pixies, The Strokes. Marrant ces groupes qui commencent par The. Ca me rappelle le film d'Alan Parker, les Commitments. Ici on ne te demandera pas si tu es Soul mais plutôt Rock'n'roll. Après tu choisiras ton style : East Coast, Manchester, London ou Seattle. Qu'importe le choix, faudra te mettre à l'anglais. En attendant bienvenue dans notre bande. Avec toi, nous sommes quatre. C'est un bon chiffre pour un groupe de rock.

Commentaires

Anonyme a dit…
the last of the famous playboy
y'a pas à dire ...

stef
Perlin a dit…
Joss, c'est très bien tout ça, mais tu as oublié au passage The Neil Young ;-)

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Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)

Un chouette anniversaire

Le but de la reprise c'est quand même de faire autre chose que l'originale. Exemple de totale réussite ici.
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.