Accéder au contenu principal

Les pépites de KEXP, Seattle, USA.

Ouch' le Winter's youth des Two Gallants sur leur dernier album ! Un morceau qui démarre tranquillement puis le gros son balancé par le plus petit des groupes possibles. Deux types, guitare / batterie. Deux bûcherons aux mains d'argent. Si la voix d'Adam Stephens peut rappeler celle de Cobain sur certains morceaux, le jeu de Tyson Vogel est d'une richesse incomparable. Souvent comparés aux White Stripes ou aux Blacks Keys, ces deux-là sont peut-être plus rugueux, plus "grunge". Rien d'étonnant à ce que l'on les retrouve dans l'excellent studio de la radio KEXP basée à Seattle pour une session qui décoiffe littéralement.



KEXP c'est un compte sur YouTube, une radio en streaming, un blog et encore tout un tas de choses. C'est surtout des vidéos à ne pas louper. Comme ce Fitzpleasure publié aujourd'hui même...

 

Commentaires

PASSAGELOOINTAIN a dit…
Merci pour ces rappels, surtout The Wedding Present et Alt-J (même si c'est rop tard, snif)

Posts les plus consultés de ce blog

Cassels : le retour des punks anglais

Punks not dead ! Je dirais même que la relève est bien là... Pour ça, il suffit d'écouter le duo formé par les frères Beck, deux albums à leur actif.  Le réalisateur Rodrigue Huart les a rencontrés en 2017, dans la petite ville conservatrice de Chipping Norton dans le comté d’oxford. Une bourgade sans intérêt et ennuyeuse qui les pousse à partir tenter leur chance avec leur groupe, Cassels, à Londres. Initialement diffusé sur Spicee.com  le film Is this punk music? est aujourd'hui disponible gratuitement sur la plateforme Vimeo .
Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.