J'ai envie de dire : un groupe de musique, ça commence à deux. Pierre et Martin alias Bottlenext sont donc à l'origine d'un groupe pas comme les autres et proposent un hard folk des plus énergiques. Des morceaux bien trempés (dans quoi ?) avec une guitare électro-acoustique et une batterie qui cartonne. Une joie évidente de jouer ce soir-là, en plein air, devant un public pourtant plus intéressé par son hamburger/bière que par la fête des décibels. Tant pis. Ces deux-là font tellement plaisir à voir qu'il faut bien leur rendre un petit hommage post-fête de la musique.
Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview (Gonzai.com)
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