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Route du rock

Peu de kilomètres mais les routes sont étroites et tortueuses sur l'Ile de Beauté. Heureusement, j'avais mon stock de compil' des Inrocks. Le lecteur CD de la voiture a chauffé, tout comme nous en balade sous le soleil de l'été. Résultat des courses : quelques confirmations (The Drums, Sophie Hunger, Cold War Kids, Fujiya & Miyagi...) et pas mal de découvertes. Allez, s'il ne faut en choisir qu'un, optons pour les Rennais de Montgomery... Des Rennais. En Corse. Choc thermique assuré.



Mais pourquoi diable ce clip est-il tronqué de cette façon ? Franchement les gars de Naïve, c'est pas joli, joli...

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Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)

Band of Four

Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.