Accéder au contenu principal

La promo ne paye plus

Après avoir titré "Carla Bruni cartonne" le 14 août, Libé revoit sa copie. Selon le quotidien, le 3ème album de la chanteuse-mannequin "s’oriente vers un bide implacable". Les premiers chiffres publiés en août (300 000 exemplaires) correspondaient en réalité aux commandes effectuées par les distributeurs. Une boulette de Naïve, la maison de disques... Les chiffres d'aujourd'hui (80 000 exemplaires) sont ceux des ventes réelles aux particuliers. On est loin, très loin, des 2 millions d'unités écoulés pour le 1er album. Comment expliquer cet écart ?
Peut-être un effet de la baisse du pouvoir d'achat...

Commentaires

anakin a dit…
Peut-être qu'il n'est pas bon.
Je l'ai reçu et je n'ai même pas fait l'effort de l'écouter au moins une fois.
Et pis, elle est quand même la femme du Président. Et moi le Président, moins je le fréquente, mieux je me porte.
Joss a dit…
Moi je me suis fait le plaisir de ne pas regarder La Musicale de ce lundi sur Canal+
;o)

Posts les plus consultés de ce blog

Cassels : le retour des punks anglais

Punks not dead ! Je dirais même que la relève est bien là... Pour ça, il suffit d'écouter le duo formé par les frères Beck, deux albums à leur actif.  Le réalisateur Rodrigue Huart les a rencontrés en 2017, dans la petite ville conservatrice de Chipping Norton dans le comté d’oxford. Une bourgade sans intérêt et ennuyeuse qui les pousse à partir tenter leur chance avec leur groupe, Cassels, à Londres. Initialement diffusé sur Spicee.com  le film Is this punk music? est aujourd'hui disponible gratuitement sur la plateforme Vimeo .
Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)
Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.