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Made in Belgium

La Belgique c'est l'autre pays du rock alternatif. Depuis la sortie du très remarqué The Ideal Crash par les Anversois de dEUS, plusieurs artistes se sont faufilés dans une brèche pleine de fraîcheur et d'inspiration. Citons Sharko, Malibu Stacy, An Pierlé, Girls in Hawaii, et autre Ghinzu. Au-delà de cette effervescence artistique, ce qu'il y a de bien avec les Belges, c'est qu'ils parlent français (aussi bien que nous) mais chantent en anglais (mieux que nous). Ce n'est pas Arno ou David Bartholomé, le leader de Sharko, qui nous diront le contraire...

Commentaires

Perlin a dit…
Merci Joss pour ce post... C'est vrai, beaucoup de bonnes choses en provenance de Belgique. Début des années 80, personnellement, je me souviens avoir "craqué" pour un bon album de Polyphonic Size, intitulé THE OVERNIGHT DAY, avec la chanson "Tell me", très jolie...
En savoir + : http://polyphonicsize.free.fr

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Une interview d'un Enfant du rock : Hugo Cassavetti, critique musique pour Télérama

Qu’un album se vende à deux ou 100 000 exemplaires ne change rien pour moi. Pour l’artiste et l’industrie, ça change tout. D’où la pression qu’on nous fait porter d’être en partie responsable ou non de la réussite commerciale d’une œuvre et de son auteur. Voilà pourquoi la critique est aussi courtisée que redoutée, voire parfois haïe, car plus elle est indépendante, plus elle peut avoir de l’influence. ► Lire l'interview  (Gonzai.com)

Band of Four

Il y a 40 ans jour pour jour sortait le 1er album des Smiths. Le journaliste journaliste anglais Nick Kent considère le groupe de Manchester avec autant de sérieux que les Beatles. Avec une génération d'écart. Et quelques points communs comme ce duo de génie dans un groupe de 4, ici représenté par le compositeur et guitariste Johnny Marr et le chanteur et parolier Steven Patrick Morrissey. Les fans des Smiths attachent autant d'importance aux textes engagés du second qu'aux mélodies uniques du premier. Et si les Beatles sont toujours d'actualité, les morceaux des Smiths hantent également nos esprits, à l'instar d'un cinéaste comme David Fincher qui a choisi d'afficher pas moins de quatre morceaux du groupe mancunien sur la dernière BO de The Killer . Illustration de cette pérennité avec cette reprise plutôt sobre et efficace. Et un timbre de voix qui n'est pas sans nous rappeler la sublime Harriet Wheeler de feu les Sundays.